Notre grand frère Adama Gaye le talentueux journaliste de tous les temps rappelle les mots de l’ ancien joueur de la Jeanne d’ Arc et de l’ équipe nationale
La part sombre de la prophétie de Sega Sakho se vérifie. « N’attendez pas ma mort pour me célébrer », avait-il dit. Hélas, c’est le cas. Voici quelques mois, il suppliait des mécènes pour se soigner. En vain.
Pour que sa mort, dans des conditions pénibles et de pauvreté, ne soit pas vaine, n’est-il pas temps de créer une assurance pour les sportifs ?
Assurance Sega ou Assurances Sportifs Sega ! Ce serait l’ultime dribble, posthume, du facétieux. État du Sénégal et monde du sport, les hommages et éloges ne sont pas ce que l’illustre défunt attend depuis le ciel, où il suit tout ça, moqueur…