Kaolack Bâtiments administratifs. Une partie de la nouvelle gouvernance en construction s’ est écroulée. Un lieu qui sert de refuge des délinquants

Dans la nuit du Mercredi à Jeudi une partie de la gouvernance en construction à cédé. Depuis douze ans les travaux ont été entamés par un entrepreneur qui s’ est volatilisé dans la nature et il reste introuvable.
Depuis lors le chantier est à l’ arrêt et tarde à être réalisé et les populations s’ interrogent sur les tenants et aboutissants de retard accusé danse la livraison du joyau .
Une nouvelle gouvernance qui est devenue le lieu de retranchement des badauds et autres malfrats .
Le décor présente une image indescriptible avec des herbes sauvages où les serpents dictent leur loi .
A côté l’ancienne gouvernance est dans une situation alarmante. La bas des travaux de réhabilitation des bureaux et du bâtiment administratif laissent à désirer. Un chantier qui n’ est pas encore livré à l’ administration territoriale . Les autorités doivent prendre des mesures pour chercher une solution car les locaux vétustes et en état de délabrement très avancé menacent ruine alors que des personnes fréquentent quotidiennement les locaux. Mieux on doit fouiller dans les décombres pour voir s’ il n’ y a pas des pertes en vie humaine paracerque des sans abris y passaient la nuit.
Depuis des années tous les gouverneurs qui se sont succédés à la tête de l’ Exécutif régional, de Amadou Sy à Al Hassane Sall en passant par Alioune Badara Mbengue et Ousmane Kane, ils ont été logés dans des maisons conventionnées .

Le Président de la République Bassirou Diomaye Faye ,son Premier Ministre Ousmane Sonko sont alertés.
Et selon certains citoyens kaolackois l’ entrepreneur en charge des travaux doit éclaircir la lanterne des kaolackois . On doit également s’ interroger sur le coût du marché, les conditions de passation du marché et l’arrêt des travaux ?
Mamadou Camara Camou Communication Kaolack

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comment 1 commentaire
  • Oumar Dieng

    Cet état de fait traduit un laisser-aller incompréhensible de la part des autorités étatiques qui ont toujours observé sans agir à l’encontre des entrepreneurs véreux. Un État soucieux de ses engagements et de son autorité doit être en mesure de faire respecter l’exécution correcte de sa commande. Combien de chantiers dénombre-t-on qui ont vu les entrepreneurs évanescents disparaître sans jamais réapparaître ? C’est là un des moult chemins d’évasion de nos pauvres deniers.
    Espérons que les nouvelles autorités seront plus regardantes et plus rigoureuses dans la gestion des marchés de construction.
    En attendant, la gouvernance qui devait être terminée depuis plusieurs années est aujourd’hui habritée sous location au palais de feu Ndiouga Kébé pour un beau pactole qui nous coûte les yeux de la tête.

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