Ouverture officielle des inscriptions sur les listes électorales dans les différentes commissions de recensement au niveau des préfectures, la situation est morose et c’ est le calme plat durant les premiers jours .
A Kaolack ce n’ est pas encore le grand rush. Pourtant ils sont nombreux les élèves et étudiants qui ont des CIN » qui portent la mention : Ne peut pas voter ou n’ est pas inscrit sur le fichier électoral.. »
Pour la plupart ce sont des élèves qui étaient obligés de s’ inscrire pour les besoins des examens
. Ces jeunes n’ ont qu’ un jour dans tout le processus électoral et ils ont le droit de voter
Nous pensons que les autorités étatiques ,les partis politiques et les médias devraient mettre le focus sur la communication ,ceci pour permettre aux jeunes ou d ‘aller en masse vers les commissions au niveau des préfectures et sous préfectures pour être à jour car le votre est un droit pour tout citoyen ….
Ce manque notoire d’ affluence est lié à un problème de communication
La balle est dans le camps des autorités et des organisations politiques .
A mon avis pour pallier à cette situation ,on doit créer des commissions décentralisées au niveau des établissements scolaires ,des collèges , des lycées et universités) voire dans les quartiers pour donner la chance à tout le monde si l’ on sait qu ‘ il est difficile pour les potaches d’ aller à l’ écoles et en même temps enchaîner dans les commissions .
Un problème de temps et de disponibilité se pose pour les élèves et étudiants
On ne doit plus entre un faible taux de participation aux prochaines joutes électorales .
La sensibilisation et la communication doivent continuer mais malheureusement la communication fait défaut surtout des les contrées du pays .
La balle esr dans le camps des autorités qui devraient envoyer des communiqués payants au niveau des radios ,des télévisions et de la presse écrite C’ est une priorité contrairement aux
débats politiques stériles qui étouffent avec des ..chroniqueurs de circonstances et experts » connais tout » qui ne parlent que dans le vide.
On ne doit pas oubliet que la médiatisation du processus électoral est portant pour la stabilité de la démocratie./.
Mamadou Camara