La publication provisoire des organes de presse reconnus par l’ État a secoué des entreprises de presse qui étaient toujours dans l’ illégalité avec des patrons de presse qui avaient l’ habitude d’ utiliser leurs organes de presse pour faire des chantages afin de survivre . De vieilles pratiques qui leur permettaient de vivre dans des conditions de vie en toute quiétude.
Depuis 1960 à 2023 , de telles méthodes n’ étaient menacées car ces patrons de presse étaient en connivence avec les autorités étatiques et des personnalités politiques de l’ époque pour s’ enrichir sur le dos d’ un peuple innocent qui ne savaient plus à quel saint se vouer.
Selon des kaolackois interrogés à ce sujet » Les hommes passent et les institutions demeurent.. » ,aujourd’ hui ils se sont félicites du courage des nouvelles autorités et de la décision courageuse du Ministre de la communication, des télécommunications et du numérique qui,selon eux , ont réussi à enlever une épine sur les pieds .
Pour d’ autre cette demande sociale ou veille doléance est devenue une réalité dans le paysage médiatique sénégalais.
En dehors de cette sage décision prise par les nouvelles autorités, des kaolackois estiment que chaque métier doit appartenir à des professionnels .
Toutefois ces populations invitent la société civile et toutes les bonnes volontés épris de paix et de justice qui croient à la préservation des acquis démocratiques d’ accompagner le régime de son Excellence Bassirou Diomaye Faye pour la réalisation des gigantesques projets pour le redécollage du pays qui est légué par des anciens dignitaires qui ont longtemps plongé les citoyens dans la misère pendant des années.
Des populations qui ont encore exhorté le Ministre Alioune Sall à ne pas répondre aux journalistes reconvertis en politique qui ne sont préoccupés que par leurs propres intérêts et qui étaient en complicité avec personnalités politiques pour sucer le sang d ‘ une majorité.
Camou communication